L’arrivée de la Toussaint est le moment parfait pour prendre le temps de faire le point sur le deuil qui malheureusement n’épargne personne. Mais avez-vous déjà entendu parler du deuil digital ?
Le deuil digital se démocratise de plus en plus : funérailles sur zoom, vidéos commémoratives ou encore livres d’or en ligne… Et de tout nouveaux rituels virtuels en matière d’hommages aux personnes disparues ont émergé sur la toile. Les temps changent, les mœurs évoluent et la manière d’appréhender la mort est aujourd’hui en pleine mutation. Afin d’exposer certaines idées reçues qui persistent encore en 2022, Alanna, la première plateforme sociale du souvenir et du deuil présente trois préjugés infondés qu’il est temps d’oublier.
1. Le digital n’est pas adapté au deuil
Naturellement, le deuil est un événement pour lequel les proches ont besoin de se réunir physiquement pour trouver du réconfort et manifester leur soutien. Malheureusement, il n’est pas toujours possible de se déplacer : soit à cause de la distance, soit pour des raisons de santé, ou encore d’organisation ou de circonstances. Aussi, un deuil se vit dans la durée, et pas seulement la semaine qui suit le décès. C’est pour toutes ces raisons que le digital est important, en permettant l’inclusion plutôt que l’exclusion. On a tendance à penser que le digital et les réseaux sociaux sont superflus et inappropriés dans ces circonstances, et que seules les relations physiques comptent. Pourtant, ces deux mondes sont aujourd’hui profondément entremêlés dans notre quotidien.
En effet, il ne faut pas opposer le digital au physique, mais au contraire, associer le digital à la présence… Car rassembler les proches autour d’une personne défunte vient renforcer la dimension familiale et les interactions et cela permet à tout le monde de pouvoir participer et se montrer présent. Les bénéfices du digital sont nombreux : trouver de l’information, entretenir la mémoire, communiquer facilement, informer rapidement, centraliser les hommages, échanger et partager des souvenirs, trouver des professionnels… Et il existe des plateformes adaptées pour cela, comme Alanna, par exemple.

2. Laisser ses volontés et anticiper sa mort, c’est “glauque”
Les tendances du secteur révèlent une volonté de plus en plus forte de cérémonie plus personnalisée, intime, avec une progression des cérémonies civiles (64% des intentions), et des crémations, allant jusqu’à la dispersion des cendres (55% des intentions) pour ne pas “embarrasser” la famille. Parce que les mentalités changent, les mœurs évoluent, les situations familiales le nécessitent (divorce, pacs, famille recomposée, etc.), il est extrêmement important de laisser des consignes de son vivant.
C’est à la fois plus rassurant, pour soi, mais également pour les autres car on a l’esprit déchargé d’un fardeau, et c’est aussi la garantie de mettre à l’abri ses proches et d’avoir une fin de vie à son image. Exprimer ses volontés permet de parer à toutes les éventualités, libère la parole et décharge l’esprit. Ne partons-nous pas en vacances l’esprit plus tranquille quand tout est organisé ? C’est la conviction d’Alanna qui propose un espace personnel, intime et confidentiel qui permet entre autres d’anticiper sa succession et de laisser ses volontés.
3. Le mémorial en ligne est réservé aux célébrités

On trouve toujours tous hyper pratique les recherches sur internet. Si l’on veut découvrir la vie ou la biographie d’une personne publique ou d’une personnalité célèbre. Il suffit d’interroger “google” et toutes les réponses tombent. Mais les choses se compliquent lorsqu’il s’agit de savoir qui était votre grand-père, votre arrière-grand-mère… comment et où ils ont vécu. Alors que finalement, on mérite tous d’avoir une trace de nos vies. Elles sont, pour la famille, bien plus importantes, et permettent de transmettre le souvenir de génération en génération. Une fois renseignées sur un site, les histoires se conservent, peuvent être alimentées, et partagées. On peut ainsi commencer à tisser sa généalogie, comprendre d’où l’on vient.
Les carnets de bord dans les tables de chevet, c’est bien, mais malheureusement, la plupart du temps, cela meurt au fond d’un tiroir. À la manière d’une personnalité publique qui possède sa propre page Wikipédia, on peut tout à fait mettre en lumière la vie de l’être perdu et créer un patrimoine et un héritage culturel autour de ce dernier. Nous avons tous un vécu, fait des rencontres, partagé des choses et créé des liens avec les autres au cours de notre vie. C’est pour célébrer les vies, et entretenir le souvenir que Alanna s’est fondée, en offrant à tous, un lieu de mémoire unique et intemporel.
Dites-nous en commentaires si vous aviez ces idées reçues et ce que vous pensez du deuil digital.